RPS

 

 

CDD ET MUTUELLE

LA PORTABILITÉ, C’EST VOTRE DROIT !

Cesson-Sévigné, le 29 novembre 2024,

Sauf s'iel refuse d'y souscrire (si son contrat est de moins de trois mois et qu’il est titulaire ou ayant droit d’une complémentaire santé), un.e agent.e CDD bénéficiera du contrat de mutuelle souscrit par l'Inrap auprès de Harmonie Mutuelle. Outre l'agent.e, ses ayant-droits (conjoint.e et enfant.s) en bénéficieront aussi à la demande de l’agent (le contrat permet de les couvrir sans surcotisation).

Lorsqu'iel n'est plus en contrat, conformément à l'article 19 de l'accord collectif mutuelle et prévoyance de l’Inrap, l'agent.e continuera de bénéficier de la couverture de la mutuelle pendant une durée au moins égale à son dernier contrat, pour un an au maximum (c'est la portabilité).

En outre, un nouveau dispositif devrait être mis en œuvre à partir du 1er janvier 2025 simplifiant les démarches pour les agent.e.s en CDD (il faut toutefois noter que, pour le moment, il ne s'agit que d'un engagement oral de l'administration lors d'une réunion de travail effectuée en octobre, pour l'instant cela n'a pas été posé sur papier!).

N'hésitez pas à solliciter vos gestionnaires en ressources humaines et nous contacter en cas de problème (encore fréquents) !

Confraternellement,

SGPA CGT Culture section Bretagne

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CDI et CDD

LA CARTE CULTURE

Comment l’obtenir ?

Cesson-Sévigné, le 13 mars 2025,

Présentation du dispositif

La carte culture donne aux personnels du ministère de la Culture et de la Communication et aux agents de établissements en dépendant, la gratuité ou des réductions sur les droits d’entrée et les produits des établissements culturels du Ministère.

Conditions d’obtention

Les agent.e.s en CDI y ont droit tout comme les retraités. Les CDD, stagiaires et apprentis doivent bénéficier d’une durée de contrat au moins égale à 6 mois continus. La validité de leur carte prendra fin avec leur fin de contrat. Un.e accompagnant.e poura bénéficier au même titre que l’agent.e bénéficiaire de la carte, des mêmes avantages. Pour établir une carte culture, il faut envoyer une photo d’identité (et, pour les agent.e.s en contrats autre que le CDI, copie de leur contrat en cours de validité à l’adresse suivante : Inrap-Secrétariat DRH - 121 rue d'Alésia - CS 20007 - 75685 Paris Cedex 14).

Une page pérenne sur le site de l’Inrap (https://intranet.inrap.fr/mon-quotidien/mes-avantages/offre-carte-culture) présente en détail le dispositif.

La culture n’est pas un luxe, faites valoir vos droits ! Confraternellement,

SGPA CGT Culture section Bretagne

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 Cesson-Sévigné, le 15 Octobre 2025,

Bienvenue sur le "blog" de la section Bretagne du SGPA CGT Culture.

Ce support servira principalement à proposer à l'ensemble des agent.e.s un accès aisé à nos archives, principalement la documentation concernant les droits des agent.e.s ainsi que les points concernant leur santé et leur sécurité au travail.

N'hésitez pas à revenir vers nous en cas de besoin,

Adelphité,

La section Bretagne SGPA CGT Culture

 

Agents opérationnels

RISQUES LIÉS AU SOLEIL

Préconisations du ministère de la santé

Cesson-Sévigné, le 18 mars 2025,

S’il incombe à l’employeur de prendre « les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs » (article L4121-1 du code du travail), « il incombe à chaque travailleur de prendre soin, en fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa santé et de sa sécurité ainsi que de celles des autres personnes concernées par ses actes » (article 4122-1 du code du travail).

Suite à nos communications axées sur la prévention, nous vous proposons ce mémo centré sur les risques liés au soleil, et les moyens de s’en prémunir, issus du document joint publié par le ministère de la santé en 2012.

Outre les risques climatiques évoqués dans plusieurs documents réalisés par l’Inrap (fiche de risque professionnels, DG 73, une fiche « forte chaleur » a censément été établie en 2023, mais nous ne l’avons pas retrouvée sur l’intranet...), les risques de cancers de la peau, suite à des expositions prolongées et répétées au soleil, ne sont pas à négliger. Le document émis par le ministère de la santé joint à ce mémo vous propose un résumé assez complet. Il propose en particulier une description des différents phénotypes qui vous permettra de connaître votre classe de risques.

Les mesures préventives mises en place et préconisées par l’établissement s’avèrent assez efficaces en terme de prévention primaire : adaptation des horaires dans la mesure du possible, possibilité de se mettre à l’abri, multiplication des pauses, dotations en EPI légers et couvrants, remboursement de la crème solaire (cf formulaire ci-joint).

Néanmoins, nous avons constaté dans le dossier de presse émis par le ministère de la santé certaines informations qui gagneraient à être mises en évidence et portées à votre attention.

Tout d’abord, quel que soit votre type de peau, vous pouvez être sujet.e à des lésions liées au rayonnement solaire. Un suivi par un.e dermatologue ou, à défaut, une observation systématique par la médecine du travail lors des visites périodiques peuvent renforcer la prévention de ce risque, la détection et le traitement précoce étant un facteur clé. Dans l’état actuel de la médecine de prévention, cela implique une périodicité plus resserrée que celle préconisée depuis la loi El Khomri. On peut envisager que les expositions fréquentes aux émissions d’échappement des engins de chantier, aux émissions de poussières de silice cristalline voire à certains agents biologiques mentionnés dans la fiche de risques de 2023 permettent de justifier cette fréquence plus élevée des visites auprès de la médecine du travail. Il est à noter que « tout agent peut bénéficier à sa demande d'une visite avec le médecin du travail ou un membre du service de médecine préventive sans que l'administration ait à en connaître le motif. » (article 21.1 du code du travail).

Notre travail peut être pénible, il ne doit pas être source de douleurs et de pathologies !

Pour nombre d’entre nous, notre corps est notre outil de travail, notre capacité à le garder en bonne santé notre principal moyen de subvenir à nos besoins.

NON À LA SOUFFRANCE AU TRAVAIL ! Prenez soin de vous et des autres, SGPA CGT Culture section Bretagne

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Agents opérationnels

PRÉVENIR LES TROUBLES MUSCULO-SQUELETIQUES

Préconisations du médecin coordinateur de l’Inrap

Cesson-Sévigné, le 24 février 2025,

Pour faire suite à notre précédent message dans lequel vous ont été présentée la fiche de risques professionnels nationale de l’Inrap émise en 2023, nous revenons vers vous avec ce mémo centré sur les troubles musculo-squelettiques concernant les agents de terrain.

S’il incombe à l’employeur de prendre «l es mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs » (article L4121-1 du code du travail), « il incombe à chaque travailleur de prendre soin, en fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa santé et de sa sécurité ainsi que de celles des autres personnes concernées par ses actes » (article 4122-1 du code du travail).

Par ailleurs, pour nombre d’entre nous, notre corps est notre outil de travail et son bon état notre principal moyen de subvenir à nos besoins.

Conformément aux obligations qui lui incombent, l’Inrap doit évaluer les risques auxquels sont soumis ses agents et mettre en oeuvre les mesures préventives nécessaires.

Les outils proposés lors de la formation «gestes et postures / prévention des pathologies mécaniques» permettent de réduire une partie des risques d’usure et de blessures.

Outre les préconisations posturales et ergonomiques, il est mis en avant les bénéfices de procéder à des échauffements avant de commencer les opérations de terrain, c’est-à-dire le matin à l’arrivée sur le terrain et après la pause méridienne, ainsi qu’après des stations au sol prolongées.

L’alternance des tâches, le recours à la mécanisation chaque fois que cela est possible, ainsi que l’utilisation d’outils adaptés à la morphologie de chaque agent ont aussi un impact significatif dans la prévention des pathologies biomécaniques ; il est en outre nécessaire de disposer d’outils bien entretenus (ce qui suppose un affûtage régulier).

Pour finir, il est nécessaire d’effectuer régulièrement des étirements et contre-postures.

Ces préconisations ne sont pas des gadgets et leur application permettrait de réduire (ou au moins de repousser) la survenue d’un certain nombre de troubles musculo-squeletiques et de maladies survenant suites aux pratiques inadaptées !

Nous devons faire en sorte d’en généraliser l’usage !

Notre travail peut être pénible mais il ne doit pas être source de pathologies ! NON À LA SOUFFRANCE AU TRAVAIL !

Prenez soin de vous et des autres, .

Confraternellement,

SGPA CGT Culture section Bretagne

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